Oussama Mazouz expose “Ombres éternelles”

Vendredi 17 Janvier 2020, au Studio de Poussière d’image, c’est près d’une centaine de personnes qui sont venues à la rencontre de Oussama Mazouz et de sa première exposition : « Ombres éternelles » . Un rêve enfin réalisé ! 14 photos 40X60 en noir et blanc racontant une partie du parcours d’Oussama, de l’Algérie sa terre natale illustrée par des paysages vers différents coins de France et des photos d’architecture… Dans un coin, posée sur un chevalet une photo de rue toulousaine en couleurs, un clin d’œil pour montrer qu’il maîtrisait également la couleur même si il travaille presque uniquement en N&B. Il présentait également son premier livre photo.
Il a fait un discours très émouvant, où l’on apprenait comment il a découvert la photo il y a seulement 4 ans, et comment il a progressé tout seul en autodidacte. Auparavant, il était poète, mais il l’est resté, tout en changeant son mode d’expression, tant ses photos suscitent d’émotions et ne laissent personne insensible. Oussama est venu en France pour réaliser un autre rêve, celui de devenir photographe professionnel. Gageons qu’avec sa motivation, ses sacrifices, ses compétences, sa sensibilité… et la fulgurance de sa progression, jalonnée de prix nationaux et internationaux, il y arrivera très prochainement, c’est ce que nous lui souhaitons !
Oussama a répondu avec gentillesse, modestie et simplicité à nombre de questions. La soirée a été très riche en échanges et partages. La convivialité était de mise autour du verre de l’amitié et du buffet préparé par Poussière d’image. Après avoir été admiratifs devant les photos de Oussama, nous l’avons été devant les pâtisseries algériennes, variées et colorées, réalisées et offertes par sa femme.
Merci à Nicolas Pagès pour l’organisation de la soirée, aux adhérents bénévoles qui ont donné un coup de main… et merci à Carmen Legros qui a réussi un très beau reportage en N&B, traduisant parfaitement l’excellente ambiance qui a régné pendant ce vernissage, complété par quelques photographies , elles-aussi avec un rendu N&B réussi, de Gwen Bovilan.
Enfin merci à Oussama, sa femme, de nous avoir fait vivre ce merveilleux moment

Laurent Vigliéno