Les Théatrales de Verfeil 2025 sont de retour pour ce week end du 11 novembre.
Le défi de Poussière d’Image si vous l’accepter est de couvrir les 27 pièces présentées au cours de ce Festival.
Merci de vous inscrire à la (les) journées qui vous intéressent et d’envoyer un mail à André Cocault : andré.cocault@gmail.com afin de nous indiquer vos choix.
Renseignements : Alain Garres : 0615338597
Photos à envoyer à André Cocault qui transmettra . (andré.cocault@gmail.com)
Les recommandations d’usage sont de rigueur
LE PROGRAMME DU MARDI 11 NOVEMBRE 2025
11 h // Verfeil, grande salle // jeune public à partir de 5 ans // 1 h
“Les aventures d’Alexandre le gland” Adapté de l’album
jeunesse d’Olivier Douzou (édition du Rouergue)
Conte initiatique par la Compagnie “Esperlouette” (Bertholène, 12)
Alexandre le gland est le dernier descendant d’un grand chêne. Il refuse un
destin tout tracé. Il va, peu à peu, par ce parcours initiatique et poétique,
trouver un sens à sa vie à travers des rencontres improbables parfois
amicales, parfois effrayantes.
11 h // Verfeil, petite salle // tout public // 1 h 15
“Les encombrants” de Claude Cohen
Comédie humaine par “Le vestiaire des filles” (Graulhet, 81)
Simone et Francis partagent un trottoir 2 pièces-carton adossé au mur
du four d’une boulangerie. Lorsque soudain Bérénice s’immisce dans leur
quotidien, ça gratte, ça pique, ça bouscule. Y a des règles dans la rue, y a
des rêves aussi et ces trois-là n’en manquent pas. La vie ce n’est pas des
Haribos, on est d’accord, mais avec un petit verre de Tchernobyl, tout
s’illumine en bleu.
14 h 15 // Verfeil, petite salle // adultes et ados // 1 h 30
“La passation” de Christophe Mory
Comédie politique satirique par la compagnie du Mont Beron (Montberon, 31)
Deux hommes, deux présidents : l’un élu et l’autre sortant.
Duel au sommet à répliques mouchetées entre deux hommes de pouvoir
lors de la passation. Vont-ils échanger sur leurs doutes et leurs angoisses
ou plutôt se draper dans leur égo respectif ? Ce sera définitivement la
seconde option, les deux hommes se livrant à une bataille sans merci où
les coups le plus bas sont permis.
14 h 30 // Verfeil, grande salle // tout public // 1 h 45
“L’installation de la peur” Rui Zink, traduit par Maîra Muchnik
Huis-clos tragi-comique absurde, par la compagnie “Tout un théâtre”
(Clermont-Ferrand, 63)
On sonne. Pourtant la femme n’attend personne. Mère protectrice,
elle préfère cacher l’enfant, c’est plus prudent par les temps qui courent.
Elle ouvre à deux agents qui lancent fièrement “Bonjour, chère madame,
nous sommes venus installer la peur”.
Huis-clos sérieusement absurde qui mêle thriller, comédie, science-fiction,
tout comme les personnages jetant pêle-mêle les animaux, les vieux,
les marchés, l’oppression. La peur est une arme à double tranchant.
Toute ressemblance avec des faits ou des personnages réels serait une pure
invention de la part d’un esprit paranoïaque qui voit le mal partout.
16 h // Verfeil // tout public // 30 mn
Intermède
Par “L’Atelier Théâtre de Mauvezin”
Interprétation de textes courts de Jacques Brel, Prévert, Boris Vian,
Tchékhov, Sergueï Essenine, Zéno Bianou, Pascal Martin…
16 h 45 // Verfeil, petite salle // adultes et ados // 1 h 15
“À quoi servent les points-virgules ?” de Serge Papagalli
Comédie par la compagnie “Je 2 Scène” (Saint-Félix-Lauragais, 31)
Le point-virgule sert à séparer des propositions d’une certaine longueur,
unies par le sens […] On y a recours lorsqu’il y a ellipse du verbe dans la
deuxième proposition. Deux personnages sont là par hasard comme deux
propositions indépendantes.
À quoi serviront alors les points-virgules ? Leur rencontre sera-t-elle
salvatrice pour l’un comme pour l’autre ?
17 h // Verfeil, grande salle // tout public // 1 h 20
“Biche Ô Labiche” de Eugène Labiche
Vaudeville revisité par le Théâtre du Beau fixe (Launaguet, 31)
Un papa gâteau désarmé par l’espièglerie de son enfant, un maire en
butte aux tracasseries administratives de la fringante République – avec
toutefois une nièce à marier, vaudeville oblige !
Un bal en robe de chambre, Le club champenois, deux pièces courtes de
Labiche, un propos qui tient en deux lignes, mais là n’est pas l’essentiel,
Eugene n’a qu’un but, proclamé haut et fort : divertir ! Eh bien, allons-y,
Biche ô Labiche !